La Cour d’appel de Paris a rendu en date du 10 juin 2005 (n° 04-12304) un arrêt intéressant quant à la matérialisation de ce prêt.
Ainsi, un administrateur démissionnaire avait cédé son action à un nouvel administrateur qui avait démissionné de son mandat un an plus tard mais qui avait refusé de rendre l’action qui lui avait été prêtée.
La Cour d’appel a jugée que l’existence d’un prêt de consommation était établie même si aucun contrat écrit n’avait été rédigé entre les parties.
L’existence du prêt résultait de l’usage suivi au sein de la société anonyme concernée selon lequel les administrateurs concernés par le prêt d’action s’engageaient à restituer ladite action à la fin de leur mandat.
Toutefois, par prudence il est préférable de toujours prendre la précaution de rédiger un contrat afin d’éviter toute contestation sur l’existence du prêt d’action.
Ainsi, un administrateur démissionnaire avait cédé son action à un nouvel administrateur qui avait démissionné de son mandat un an plus tard mais qui avait refusé de rendre l’action qui lui avait été prêtée.
La Cour d’appel a jugée que l’existence d’un prêt de consommation était établie même si aucun contrat écrit n’avait été rédigé entre les parties.
L’existence du prêt résultait de l’usage suivi au sein de la société anonyme concernée selon lequel les administrateurs concernés par le prêt d’action s’engageaient à restituer ladite action à la fin de leur mandat.
Toutefois, par prudence il est préférable de toujours prendre la précaution de rédiger un contrat afin d’éviter toute contestation sur l’existence du prêt d’action.